poeme pour une maman qui a perdu son fils

Search Mere Force Son Enfant De Lui Baise. Donne-lui un brin de chanson et de poésie : qu’il découvre la beauté et reconnaisse ton amour Chez la petite fille, cela se manifeste par un amour inconditionnel pour papa La santé de l'enfant se dégrade : Sibilla lui écrit une lettre pour le supplier de leur venir en aide beaucoup de peine à détacher Sachezque le temps ici, ne coule plus de la même manière et que c’est uniquement pour vous qu’il paraît long, plus pour moi. C’est pour cela que je peux connaître des choses que vous ne savez pas encore. Maman, papa, c’est pour ces raisons que je vous demande, oh ! Pas grand-chose en fait, vous le comprendrez plus tard, simplement de penser à moi Modèlede textes pour une personne décédée. texte pour personne décédée qui nous manque. Tu étais un homme d’une nature bienveillante. toi et ta présence chaleureuse donnaient. un sens à ma vie. Tu étais mon ami, tu. étais mon amour, bien plus encore, tu étais. mon mari. Laperte d’une mère est une immense perte. Trouver les mots de sympathie pour consoler une personne qui a perdu sa mère peut être une vraie difficulté, même s’il est inévitable pour la plupart des gens de perdre leur maman pendant leur vie. Les textes suivants peuvent servir de base pour trouver quelque chose de Condoléances: 20 textes pour la perte Pouraider une proche, amie, compagne, fille après une fausse couche, c’est important de lui montrer qu’on ne minimise pas sa douleur, que sa peine est réelle et qu’elle est en droit de ressentir de la tristesse, de nonton film young and beautiful sub indo. Après la mort de Marc, j’ai compris de l’intérieur cette réaction des rescapés des camps de concentration j’avais le sentiment de vivre une expérience tellement effroyable, qu’elle resterait indicible parce que personne ne pourrait jamais la comprendre.»Ce que cette mère arrive à formuler, dix ans après le décès de son fils, traduit bien ce que ressentent beaucoup de parents endeuillés. La mort d’un enfant est en effet l’expérience la plus terrible que peuvent vivre des parents. … Une épreuve qui atteint la chair de leur chair, contre l’ordre chronologique du temps et des générations c’était à moi de partir », disent les grands-parents, et sur laquelle on a du mal à mettre des ils ont le sentiment qu’ils ne pourront jamais la partager avec d’autres, y compris, souvent, avec ceux qui leur sont proches …. Et les autres », de leur côté, n’osent pas leur en parler. La mort de l’enfant reste un tabou très fort, qui conduit à l’isolement des parents, explique Marie-Frédérique Bacqué, auteur de plusieurs ouvrages sur le deuil 1. D’un côté, ce sont les parents eux-mêmes qui s’isolent pris dans un mouvement de culpabilité, ils s’autosanctionnent en se refusant au monde, en évitant d’entrer en contact avec l’entourage. Et les autres parents ont tendance à les fuir, car ils en ont peur ils ont peur d’être touchés, émotionnellement, ou réellement, par une espèce de superstition selon laquelle la mort serait contaminante. » …Nadine Beauthéac, ethnosociologue et administratrice de l’association Vivre son deuil Parie-Ile-de-France » vient d’écrire un livre sur le deuil 2. On vit dans une société qui ne sait pas manier les mots du chagrin, déplore-t-elle. Et il est impudique de le le choc du début, les parents en deuil son amenés très vite, sous la pression sociale, à ne plus pouvoir en parler. On leur demande de faire le deuil le plus vite possible. Or, le deuil d’un enfant, c’est très long, beaucoup plus long que ce que la société imagine.» Cette accélération sociale du deuil est encore plus forte, souligne-t-elle, lorsque l’enfant décédé est un nouveau-né. Quand au bout de quelques mois, de quelques années, les parents qui ont perdu un bébé expriment des signes de souffrance, l’entourage qui souvent n’a pas connu l’enfant va leur renvoyer qu’il était si petit », qu’il faut qu’ils l’oublient », et qu’ils tournent la page ». …Ce dont souffrent les parents, en plus de l’absence, c’est de ce silence, car ils ont très peur que leur enfant soit oublié. L’entourage, insiste Nadine Beauthéac, ne mesure pas ce que vivent au quotidien ces parents, dans quel état d’épuisement physique et psychologique ils sont. Les parents en deuil soulèvent l’Himalaya tous les matins. Au bout d’un an ou deux, la plupart, commencent à peine à sortir du choc. … Faire le deuil d’un enfant, c’est long, très long, répète-t-elle. On est agité par des sentiments très complexes on s’attend à n’éprouver que du chagrin, mais derrière le paravent du chagrin il y a la colère, et derrière encore la culpabilité. Ces émotions, il faut que les parents en deuil aient le temps de les repérer on étouffe par exemple sa colère contre le défunt pendant des années, de les vivre, de les traverser…Il s’agit d’un travail lent et difficile. » Un travail qui peut se faire seul, mais aussi et de plus en plus avec l’aide des autres. Ce qui peut permettre d’aller plus vite, souligne Nadine Beauthéac. Car il est terrible de se dire que des souffrances ont pu se taire si longtemps. Telle celle de cette mère, venue récemment se présenter à Naître et Vivre » en disant J’ai perdu mon bébé il y a vingt ans il avait 3 mois… » Signe qu’une lente évolution est enUn psychothérapeute apprend même aux parents dont l’enfant vient d’être emporté par le cancer à identifier dans leur entourage les personnes ressources» et les personnes toxiques». Les personnes toxiques, ce ne sont pas nécessairement des personnes qui ont de mauvaises intentions, mais elles n’aident pas les parents à vivre leur deuil [en amoindrissant la perte], explique M. Deslauriers. C’est important de dire aux personnes qui vivent un deuil qu’elles ont le droit et la possibilité de se passer pour un bout de temps les gens qui leur nuisent».Les associations qui proposent d’accompagner ces parents en deuil se sont développées ces dernières années. … Et de plus en plus de parents s’autorisent désormais à chercher de l’aide », souligne Annick Ernoult, fondatrice de l’association Choisir l’espoir » … Ils peuvent enfin partager leurs expériences, leurs émotions avec d’autres parents qui traversent la même épreuve qu’eux, dire leur honte, leur culpabilité c’est de ma faute, je n’ai pas su protéger mon enfant », leur difficulté à s’intéresser à leurs autres enfants je ne pense qu’à celui qui est mort », leur colère, leur tristesse, et s’aider à apprivoiser peu à peu cette absence insupportable. On a le sentiment au début, explique Annick Ernoult, qu’on ne s’en remettra jamais. En parlant ensemble, on s’aperçoit qu’en fait on ne veut pas s’en remettre parce qu’on a peur d’oublier. Or, faire son deuil, rappelle-t-elle, ce n’est pas oublier, c’est s’apercevoir qu’on peut parler de son enfant autrement que dans les larmes, c’est se remémorer tout ce qu’on a vécu avec lui pour reconstruire l’héritage qu’il nous laisse. » Il ne s’agit pas non plus de se consoler, précise Nadine Beauthéac. Quand on perd un enfant, on est inconsolable on peut apporter son soutien à la personne, mais il faut lui garder son espace où elle est inconsolable. »Les parents qui traversent cette épreuve ne seront jamais plus comme avant » ils changent leur échelle de valeurs, leur façon de voir les choses, ils ont besoin d’expérience fortes, authentiques, les sorties purement sociales deviennent insupportables. Certains sont amenés à quitter leurs amis. Beaucoup changent d’activité, de métier. Les parents cherchent à donner un sens à leur vie, ajoute Annick Ernoult. Car si la mort d’un enfant n’a pas de sens, on peut donner un sens à sa vie après cet événement-là. » Chacun à sa manière. Un papa informaticien a voulu ainsi travailler dans un hôpital. D’autres vont militer dans des associations de lutte contre le cancer ou contre la violence routière… ou aider à leur tour d’autres parents en deuil… »cours ? Perdre un proche après un suicide laisse sans voix, l’effroi qui résulte de cet incompréhensible geste de souffrance sidère l’esprit. Néanmoins certains mots permettent de se rapprocher des sentiments complexes qui nous traversent lorsque l’on vit ce deuil. Ces textes peuvent nous aider à exprimer et partager avec les autres ce que l’on ressent au fond de nous après le décès d’un proche après suicide. Vous trouverez ici quelques citations et textes sur le deuil après suicide. Peut-être vous aideront-ils vous aussi à décrire l’inexprimable. Certains de ces textes sont tirés du forum. -> Vous pouvez également télécharger gratuitement le dépliant Mon proche s’est suicidé » édité par la Fédération Vivre son deuil et l’UNPS. Découvrir les plus belles chansons françaises sur la mort et le deuil d’un être cher cliquez ici. Découvrir 7 poèmes magnifiques sur la perte d’un être aimé cliquez ici. Texte et citation sur le suicide d’un proche Quand on est si loin de toute amitié, si seule, si triste, toute démarche difficile devient impossible. On s’observe, on se craint soi-même, et l’on se suicide dans la peur de se laisser mourir. George Sand Un suicide n’est pas un crime, sauf peut-être envers ceux qui restent. Arnaldur Indridason Le suicide ! Mais c’est la force de ceux qui n’en n’ont plus, c’est l’espoir de ceux qui n’y croient plus, c’est le sublime courage des vaincus ! Oui, il y a au moins une porte à cette vie, nous pouvons toujours l’ouvrir et passer de l’autre côté. La nature a eu un mouvement de pitié ; elle ne nous a pas emprisonnés. Merci pour les désespérés ! Guy de Maupassant Chaque suicide est un poème sublime de mélancolie. Honoré de Balzac L’idée du suicide était une protestation de vie. C’est la mort de ne plus vouloir mourir. Cesare Pavese La nuit n’est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, Puisque je l’affirme, Au bout du chagrin Une fenêtre ouverte, Une fenêtre éclairée, Il y a toujours un rêve qui veille, Désir à combler, Faim à satisfaire, Un cœur généreux, Une main tendue, une main ouverte, Des yeux attentifs, Une vie, la vie à se partager. La nuit n’est jamais complète. Paul Eluard Le suicide ne constitue jamais une réponse à un problème. La vie s’améliore toujours si on s’accroche. Ann Rule Ce n’est pas que le suicide soit toujours de la folie. Mais en général, ce n’est pas dans un accès de raison que l’on se tue. Voltaire, Lettre à M. Mariott Le suicide n’est pas affaire de courage. C’est juste une impérieuse envie de paix. Une envie qui domine tout le reste. Andrea H. Japp Se suicider, c’est peut-être vouloir se donner une réponse à des questions qui n’en comportent pas. Maurice Toesca Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux c’est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue, c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie. Albert Camus, Le Mythe de Sisyphe Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. Victor Hugo >> A lire également 21 très beaux textes sur la mort d’un être aimé » Les recherches qui ont mené à cet article texte triste suicidaire, texte sur le suicide, texte suicidaire, texte suicide, citation suicides, texte de suicide, poème suicide, poeme sur le suicide, poeme suicidaire, texte de suicidaire, citation suicide, citation suicidaire, texte de deuil pour une personne suicide, citation sur le suicide ». J’ai lu sur le blog du Dr Jennifer Gunter, gynécologue-obstétricienne américaine, un article sur quoi faire/dire, ou non, lorsqu’on a une amie qui a perdu un bébé à la naissance, ou qui a un prématuré hospitalisé en réanimation néonatale. On est souvent désarmé lorsqu’un proche traverse un drame comme celui du deuil périnatal. On aimerait aider, réconforter, mais on ne trouve pas forcément les mots, on a peur de dire des bêtises, de mal faire. Cet article propose des pistes intéressantes. Il ne s’agit pas d’une bible. Lisez cet article comme ce qu’il est, c’est-à-dire l’avis d’une gynécologue-obstétricienne américaine, qui se trouve avoir également vécu personnellement la perte d’un enfant et le long chemin de la prématurité. En aucun cas, cet article ne détient la » vérité suprême sur quoi faire/dire. Mais les idées qu’elle développe sont je trouve intéressantes, même si certaines semblent un peu incongrues du point de vue de notre culture française. Et surtout elles peuvent vous éviter quelques grosses bourdes. A vous ensuite d’imaginer, selon votre personnalité et celle de votre amie, comment l’aider et le/la soutenir au mieux pendant le deuil, cette période extrêmement difficile. Une amie a accouché prématurément de jumeaux. L’un est en réanimation néonatale, l’autre est mort. Que puis-je dire ou faire ? Cette question m’a été adressée sur Twitter. La personne qui m’a mentionnée dans le tweet savait que j’aurais peut-être un avis sur la question, parce qu’il y a 10 ans, cette amie c’était moi. J’ai été hospitalisée pour rupture des membranes à 22 SA 1/2, alors que j’attendais des triplés. Mon fils Aidan est mort à la naissance, et mes 2 fils survivants, Oliver et Victor, ont passé un séjour long et compliqué en Unité de Soins Intensifs Néonataux, parce que c’est à peu près le seul chemin possible pour des bébés nés à 26 SA. J’ai commencé à écrire une réponse, mais je me suis arrêtée plusieurs fois. Je n’arrivais pas à exprimer ce que je voulais dire en 140 caractères et ce que j’ai à dire s’applique vraiment à tous les parents qui ont un bébé en réa néonat, qu’ils aient perdu un bébé ou non. Ce qu’il NE FAUT PAS dire ou faire Ne dites pas que vous êtes désolé, ou que vous savez ce que les parents ressentent. Dire que vous êtes désolé ne sert strictement à rien, et vous ne pouvez pas savoir ce que ressent quelqu’un qui essaye de gérer le deuil d’un enfant tout en essayant de trouver en soi assez de ressources pour survivre au yoyo émotionnel dans l’antichambre de l’enfer que sont les Soins Intensifs Néonataux. Même si, comme moi, vous l’avez vécu, vous ne pouvez pas savoir comment le vit quelqu’un d’autre. Ne demandez pas de détails sur la naissance ou sur les circonstances qui ont conduit à cet accouchement. Elles sont suffisamment horribles à traverser pour le parent pour ne pas lui imposer de les revivre en les racontant à quelqu’un d’autre. Ça me rendait folle que les gens veuillent connaître les évènements uniques, mais néanmoins horribles, terribles, qui-changent-toute-ta-putain-de-vie, qui ont fait qu’à leur naissance, l’un de mes enfants est mort et les deux autres ont connu un début de vie terriblement injuste. Écouter, oui, demander, non. Ne demandez pas comment va le bébé survivant. Si le bébé se porte bien », ils auront peut-être envie de vous le dire, mais ça vous déchire le cœur de raconter que votre bébé ne va pas bien imaginez devoir le répéter encore et encore . C’est même difficile de raconter une arrivée classique en réa néonat, qui signifie, pour un très grand prématuré, osciller d’une minute à l’autre entre la survie grâce à tous les progrès de la médecine moderne, et des alarmes qui font accourir tout le monde. Ne dites pas Au moins il te reste l’autre », Tu en auras d’autres », ou toute autre variante. On m’a dit cela. Vraiment. Avoir un enfant ne rend pas la mort d’un autre enfant plus facile, et dire cela revient à nier l’existence de l’enfant qui est mort. Mon fils a vécu 3 minutes et ces 3 minutes ont représenté toute une vie pour moi. Ne donnez pas de conseils médicaux, ne critiquez pas la prise en charge médicale. Peu importe ce que vous savez ou pensez savoir sur les prématurés, il y a peu de chances que vous en sachiez suffisamment pour donner un avis médical éclairé. Des commentaires tels que Ce n’est pas dangereux tout cet oxygène ? », ou encore Ça fait quand même beaucoup de radios pulmonaires. » font naître le doute, alimentent les inquiétudes, et peuvent mener au conflit. Souvenez-vous, en plus de tisser des liens avec son bébé, votre amie doit tisser des liens avec l’équipe des Soins Intensifs. Ne dites pas Il est si petit ». J’avais envie de frapper les gens qui disaient ça. Ah bon ? J’avais pas remarqué ! Merci beaucoup d’insister là-dessus, d’ailleurs ça ne m’inquiète pas du tout. » Ce qu’on peut dire ou faire Ça doit être terriblement difficile pour toi. », ou quelque chose d’approchant. Rien de ce que vous pouvez dire ne changera les choses, alors n’essayez pas. Et c’est extrêmement difficile, il faut le souligner. Vous pouvez utiliser cette phrase dans à peu près n’importe quelle situation. Apprenez à écouter. Si votre amie a envie de vous raconter les détails, qu’il/elle a besoin de parler, écoutez simplement, serrez-le/la dans vos bras si c’est approprié. Proposez de vous occuper de la logistique de la maison. Organisez une équipe de personnes qui aident. Les pelouses doivent être tondues, les chiens sortis, les chats nourris, le courrier ramassé, la lessive faite. C’est si compliqué de faire tout ça quand vous voulez passer chaque minute en réa néonat, encore plus quand vous pleurez votre enfant. Ce point est absolument essentiel quand il y a d’autres enfants à la maison. Invitez les autres enfants à jouer, à dormir, emmenez-les à l’école, etc. Offrez des repas. Si vos amis dorment chez eux, remplissez leur frigo, ou amenez-leur un repas préparé. S’ils restent à l’hôpital ou dans une maison de parents, offrez des cartes-cadeau pour les restaurants environnants. Proposez de jouer le rôle de porte-parole. La famille et les amis veulent des nouvelles, mais c’est difficile d’en donner, surtout si les nouvelles ne sont pas bonnes voir ci-dessus. Vous pouvez par exemple dire Les gens vont demander des nouvelles parce qu’ils se font du souci. Je peux t’aider à gérer ça. Tu peux me faire suivre les e-mails et je répondrai pour toi. » Vous pouvez aussi proposer de créer et/ou mettre à jour un blog ou une page Facebook si la solution Facebook leur convient. Tout le monde n’a pas envie de partager par ce biais-là, mais certaines personnes oui. Envoyez un cadeau. Le fait qu’un enfant soit en réa néonat ne signifie pas que sa naissance ne doit pas être célébrée. Personne n’a envoyé de cadeau de naissance pendant qu’Oliver et Victor étaient hospitalisés, ils ont tous attendu la fête organisée la veille de leur sortie. Les gens attendent, pensant Et si j’envoie quelque chose et que le bébé meurt ? Est-ce que ça ne va pas rendre les choses encore plus difficiles ? » Un cadeau non utilisé ne rend pas la mort de votre enfant plus difficile à affronter, croyez-moi. Envoyez une petite peluche ou des vêtements pour prématuré là ce serait le bon moment pour demander combien pèse le bébé, pour que les vêtements soient à la bonne taille. La chose qui m’est la plus précieuse est le nounours que l’infirmière a placé dans le berceau d’Aidan. Il ne se passe pas une semaine sans que j’aille le rechercher dans son tiroir pour le tenir un moment. Demandez à voir des photos. Vous feriez cela pour n’importe quel nouveau-né. Les parents de prématurés sont très isolés. Leur offrir quelques instants de normalité parentale n’a pas de prix. Les parents ne voient pas les tubes et les fils, ils voient leur précieux bébé, et vous devriez aussi. Donnez votre sang. C’est un don très personnel que vous pouvez faire même si vous habitez loin. Envoyez une petite carte en disant que vous avez donné votre sang en l’honneur du/des bébés. Mentionnez leurs prénoms si vous les connaissez. De nombreux prématurés ont besoin d’être transfusés et les parents savent que la survie de leur bébé dépend de la bonne volonté des donneurs de sang, c’est donc un geste merveilleux. Faites-vous vacciner contre la coqueluche. Les prématurés sont extrêmement vulnérables face à la coqueluche. Faites-vous vacciner que vous viviez près ou loin. Si vous habitez loin, vous pouvez envoyer une carte ou une peluche, et préciser que vous vous êtes fait vacciner contre la coqueluche pour aider à protéger tous les prématurés, et que vous encouragerez tous vos amis à faire de même. Offrez un livre sur la prématurité. Je n’ai même pas pensé à en chercher un. ATTENTION BIAIS j’ai écrit un livre, The Preemie Primer NDT malheureusement non disponible en français. Je pense que c’est un livre formidable, mais il y en a d’autres. Quand j’ai finalement eu le temps de lire les quelques livres disponibles traitant des prématurés, il était clair qu’ils ne me convenaient pas, alors j’ai écrit le livre que j’aurais aimé avoir le jour où j’ai été hospitalisée pour rupture des membranes. SOYEZ PRÉSENT DANS LA DURÉE. Le séjour en réa néonat est long et beaucoup d’amis se volatilisent après le premier caddie de courses. Que pouvez-vous dire ou faire ? Beaucoup de choses…. Merci au Dr Jennifer Gunter de m’avoir permis de traduire et de publier son article sur ce blog J’espère que cet article pourra aider au moins une personne. Merci aux docteurs KALEE et PARAGLIDING de nous avoir autorisé de publier intégralement cet article, bien dans le but d’aider à aider ». Texte 1 Cette terrible nouvelle nous a dévasté au plus haut point. Sachez que nous sommes à vos côtés pour vous aider et vous soutenir à tout moment. Nous vous adressons toute notre affection. Texte 2 Je suis terriblement désolé d’apprendre la disparition de votre enfant. Je vous présente mes sincères condoléances à vous et à toute la famille. Les mots peuvent parfois aider à vous sentir soutenu en de telle circonstance, alors sachez que vos amis sont là pour vous si vous en ressentez le besoin. Texte 3 Les mots ne peuvent pas réduire la douleur que tu dois ressentir en ce moment. Mais je voulais juste te dire que le temps peut guérir toutes les blessures. Puissent les meilleurs moment passés avec lui apaiser ton chagrin avec le temps. Mes pensées t'accompagnent. Texte 4 Toutes mes condoléances pour la perte de ton fils/ta famille. Il/elle laissera un vide dans nos vies. Il m’est difficile d’imaginer ta douleur en ce moment. Je reste disponible si tu as besoin de moi Texte 5 Nous venons d’apprendre la disparition de votre enfant. Recevez nos plus sincères condoléances et sachez que nous prenons part à votre profonde douleur. Texte 6 Je suis bouleversé par cette nouvelle. Je pense à vous très fort dans cette tragédie qui touche votre famille. Sachez que je suis avec vous chaque jour et chaque instant. Vous pourrez toujours compter sur moi. Je vous embrasse. Texte 7 Je suis attristé par la disparition de ta fille/ton fils. Dans cette épreuve douloureuse où il t'est compliqué d’aller de l’avant, et même de regarder en arrière, regarde à tes côtés, tes amis sont toujours là quoi qu'il arrive. Texte 8 C’est avec beaucoup de peine que j’ai appris la perte de ton enfant. Je t’adresse à toi et à ta famille toutes mes condoléances. Affectueusement, Parce qu’il n’est pas toujours évident de trouver les bons mots, submergé par l’émotion, vous trouverez ci-dessous un modèle d’éloge funèbres pour vous aider dans la rédaction de votre oraison funèbre. Exemples d'oraison funèbre pour une maman Maman, tu nous as quittés, laissant dans nos vies un vide béant. Nous tous qui sommes ici, et qui l'aimions, nous savons que plus rien ne sera jamais pareil. ********* Sa modestie n'aurait pas supporté qu'on la qualifie de femme exceptionnelle. Et pourtant elle l'était. Non qu'elle ait fait des exploits ou mené une carrière brillante. C'était une femme simple, qui ne cherchait ni la lumière ni la gloire. Non, si elle était exceptionnelle, à mes yeux du moins, et sans doute aux vôtres, c'est qu'elle dut supporter toutes les épreuves que lui réserva la vie. Une vie souvent semée d'embûches. Elle n'eut pas une enfance facile et dut renoncer aux études, et donc au métier, qui lui réservaient un avenir meilleur. ********* Le mariage lui apporte un bonheur bien court. Très vite, mon père est ravi à son affection. Elle doit donc élever seule deux enfants, dans des conditions souvent difficiles. Si, durant notre enfance, nous lui avons souvent vu les yeux rougis, c'est que, pour mener de front sa vie professionnelle et l'éducation de ses enfants, elle accordait peu d'heures au sommeil. De ce tableau un peu sombre, n'allez pas déduire que ma mère était une femme triste. Vous le savez d'ailleurs, vous qui l'avez connue. Elle s'amusait volontiers de nos facéties d'enfants, et nous amenait souvent au cinéma ou au cirque, où elle n'était pas la dernière à rire aux éclats. ********* Bien sûr, maman, tu avais bien des chagrins, mais tu les gardais pour toi. Par pudeur. Et puis tu ne voulais pas nous faire de peine. Mais je crois qu'il y avait une autre raison. Tu avais un élan vital en toi. Tu avais l'impression que la vie était une source d'eau pure, dont il ne fallait pas perdre la moindre goutte. Si je deviens un peu lyrique, c'est encore en pensant à maman. Peu d'entre vous, j'imagine, savent qu'elle écrivait des poèmes. Elle me les avait fait lire, voilà quelques mois, pour la première fois. Ils parlent de ses déceptions et de ses peines, mais aussi de ses bonheurs et de son inaltérable faculté d'espérance. Car maman, vous le savez, ne pensait pas que cette vie terrestre mettrait un point final à son existence. Si son souhait a été exaucé, si elle peut nous voir ou nous entendre, je sais qu'elle serait à la fois heureuse et confuse que je parle d'elle ainsi. En votre nom à tous, je voudrais simplement lui dire merci pour tout. Je t'aime Maman. Christelle Ma maman était une femme douce et chaleureuse, empathique et pleine de vie qui faisait toujours tout son possible pour aider les autres - et cela - quoi qu'il arrive. C'était une femme fière et digne qui avait une véritable soif de vivre. ********* Son excellent sens de l'humour la faisait apprécier de tous ceux qu'elle rencontrait – et c’est sans aucun doute pour cela qu'elle a noué tant d'amitiés solides au fil des années. Vous en êtes d’ailleurs la preuve aujourd’hui ; si nombreux à être présents pour elle... ********* Maman est née en 1939, elle a grandi dans une petite maison en Bretagne avec sa mère, Marie, qui a perdu son mari à la guerre alors qu’elle n'était encore qu'une enfant. C'était une période difficile, mais elles étaient toutes très deux fortes et s'en sortaient bien. Maman a été élevée dans le respect des valeurs traditionnelles et a acquis les compétences qu'une femme de son époque devait posséder - cuisine, couture, tricot et broderie, ainsi qu'une passion pour l'histoire. Elle est devenue professeur de petite section et était très appréciée dans l'école où elle enseignait - particulièrement appréciée par mon père car c'est là qu'ils se sont rencontrés pour la première fois. Notre mère nous a enseigné beaucoup de choses quand nous étions jeunes et qui nous servent encore aujourd'hui les bonnes manières, le respect et de solides valeurs morales. Ces valeurs ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui et je lui en suis très reconnaissante. ********* Notre famille a grandi avec peu d'argent, mais nous étions toujours bien nourris et bien habillés. Nous n’avons jamais manqué de rien. Ma mère passait des heures dans son atelier de couture à confectionner de magnifiques tenues pour nous, ou à tricoter des pulls en prévision de l'hiver. Je me souviendrai toujours de nos Noëls en famille - l'église, le chaos dans la cuisine pendant que maman préparait le repas de Noël, et le sentiment merveilleux d'être tous ensemble. À l'âge adulte, elle est devenue ma meilleure amie, ma conseillère et ma confidente. Sa plus grande qualité était de m'encourager à tirer le meilleur de chaque chose et à affronter les problèmes frontalement. C'était une femme fière et forte qui croyait qu'il n'y avait aucun obstacle assez haut qui ne pouvait être surmonté sans courage et détermination. Maman avait de nombreux amis de tous âges. Même à la retraite, elle recevait un nombre incalculable d'amis qui venaient la voir - les enfants du quartier venaient lui poser des questions sur leur animal de compagnie, sur l'école ou pour manger un de ses biscuits faits maison. ********* Maman a toujours été mon soutien, ma force et mon réconfort dans les moments difficiles. Je ne sais pas comment je vais me débrouiller sans elle - cela laisse un grand vide dans ma vie. Mais je puiserai ma force dans ce qu'elle m'a appris et je vivrai selon les mots de Nelson Mandela que ma mère citait toujours comme si c'était les siens " Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur.". C'est un honneur de me tenir devant vous et de partager mes précieux souvenirs de ma mère. Elle manquera à tous, mais sa mémoire vivra en nous tous pour toujours. Je t'aime tellement, maman, et tu me manqueras plus qu’aucun mot ne puisse l’exprimer. Sylvie À noter Ces oraisons sont authentiques. S'il est compliqué pour vous de rédiger votre éloge, essayez de vous le réapproprier en songeant à des anecdotes et situations personnelles vécues avec votre maman - les plus émouvantes ou même les plus drôles. Comme expliqué sur cette page, il n'est pas interdit d'utiliser l'humour, au contraire ! Le plus important étant que votre texte vienne du cœur... C'est aussi simple que cela.

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