prends la vie dans le bon sens

PRENDSLA VIE DANS LE BON SENS 9 / 100 Très joli poème, écrit par Leni Cassagnettes, maitresse spécialisée. A lire dans les deux sens pour se remonter le moral : Leni Cassagnettes 158j'aime, 23 commentaires. Vidéo TikTok de dhikradawiya (@dhikradawiya) : « prenons la vie dans le bon sens🤲🤲🤲🤲aid Moubarak a toutes et à tous🤲🤲🤲😘😘 ». nariveindzané wagnawer certainespersonnes ne sont jamais touchées, elle peuvent passer des jours, des semaines voire des mois sans être touchées, je pense notamment aux personnes âgées vivant seule, ou aux personnes n'ayant pas de famille. pas d'étreinte pour eux ou elles, pas de baisers , de caresses, ou meme rien qu'ue personnen'osera penser que. je suis capable d'accomplir de grandes choses. je sais que. je raterai tout ce que j'entreprendrai. je ne crois plus que. je peux réussir. je suis persuadé que je ne vaux rien. j'ai arrêté de dire que. j'ai confiance en moi. Jeprends le large Jealousy Juste un rêve La liberté La musique est mon ange La paix Laissez-nous chanter [Live] (Goldman / Fiori / Clerc / Youn / Lorie / Laroque / Foly / Tal / Ségara / St-Pier / Nolwenn Leroy / Zazie) L'amour me donne des ailes Le droit de rêver Le guitariste Le passé Le sens de la vie Le sens de la vie (Tal feat. L nonton film young and beautiful sub indo. A force de tout vouloir maitriser, on peut perdre pied. Getty Images/iStockphoto Aline, chef de projet dans la pub et mère de deux jeunes enfants, ne peut pas s'endormir le soir sans vérifier que sa liste "des choses à faire dans la journée" est bien terminée. Ce qui implique par exemple d'avoir pris un rendez-vous chez l'orthophoniste pour sa petite dernière, vidé le lave-vaisselle, lancé une machine de blanc, préparé sa présentation pour sa réunion de travail du lendemain et prévu les menus de la semaine, si possible avec "un maximum de légumes". "Je me rends bien compte que je me prends la tête pour tout, mais impossible de m'arrêter, même si je m'épuise moi même", confie la jeune femme. David, cadre dans une banque, reste pour sa part des heures au boulot, "incapable de partir avant d'avoir relu chaque dossier client et d'être bien sûr qu'il n'y a aucune erreur". Il est par ailleurs de son propre aveu "ultra exigeant" avec ses enfants et s'angoisse à la moindre de leurs mauvaises notes, convaincu que leur avenir est fichu s'ils descendent en deça de 16/20. Aline et David sont chacun à leur manière ce qu'on appelle des "control freaks". Leur équilibre personnel semble tenir sur une corde raide prête à rompre à la moindre défaillance. Comment expliquer cette obsession de la perfection, comment, également, parvenir à "lâcher prise", selon l'expression consacrée? La réponse à un discours dominant qui vante le contrôle dans tous les domaines"Cette question est plus difficile qu'il n'y paraît à traiter", prévient Lysiane Panighini, psychopraticienne. "En effet, constate-t-elle, ce concept du "contrôle à tout prix" émerge véritablement depuis quelques décennies et prend de plus en plus d'ampleur dans la vie des gens". S'appuyant sur une approche "narrative" de la psychologie, Lysiane Panighini, part du postulat que "certaines attitudes et comportements se co-construisent à partir d'un contexte sociétal, religieux, familial, communautaire, etc." Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement "Tout le monde a pu et peut constater un discours dominant expliquant qu'il est bon de contrôler ou dominer ses affects, ses émotions, sa prise d'alcool, son poids et qu'il faut être parfait en tout, corps, culture, études ". Le message subliminal sous-jacent étant, poursuit la psychopraticienne, "grâce à cela, vous serez aimé, admiré, vous ne serez jamais malade, vous ne serez jamais triste, vous ne serez jamais trompée". En bref, "vous accéderez au bonheur, à la plénitude et serez parmi les meilleurs". Une volonté illusoire d'influer sur le cours de sa vieA la notion de contrôle, précise en effet Lysiane Panighini, s'ajoute non seulement celle de perfection mais aussi "celle de pouvoir". "Contrôler donne une illusion de pouvoir sur les événements de la vie, l'idée étant 'tant que je contrôle, rien ne peut m'arriver'". C'est ainsi que, constate-t-elle, certaines personnes créent "tout un tas de pares-feux, de gardes-fous, de balises de toutes sortes pour que tout soit parfait". Ceci notamment afin "de voir le meilleur de soi dans le regard de l'autre et d'exister ainsi". Une analyse qui parle à Marion, 34 ans "J'ai cette impression que si les autres, mes proches, mes collègues, admirent ma maitrise de tout, envient mon organisation au cordeau, cela valide mes choix. J'ai besoin de cette approbation, d'être finalement, comme lorsque j'étais enfant, 'une bonne élève'". Le risque que tout s'effondre au moindre imprévuProblème cette pression que les perfectionnistes s'infligent arrive souvent à un point de non retour, avec le risque que la mécanique bien huilée se grippe. Et là souvent, c'est le drame. Cécile est ainsi tombée en dépression après une déconvenue professionnelle "J'avais préparé un événement durant des mois, ne négligeant aucun détail, y consacrant mes journées et souvent mes nuits. Et puis le jour J, évidemment, tout ne s'est pas passé exactement comme prévu, le traiteur a été en retard, un intervenant s'est décommandé. Et soudain, le monde s'est ouvert sous mes pieds, j'ai eu la conviction de n'être qu'une énorme erreur. J'ai mis des mois à remonter la pente, à me pardonner des choses dont je n'étais pas responsable, à accepter que je ne pouvais pas tout contrôler, en réalité." "Le risque de cette obsession du contrôle est en effet la dévalorisation de soi, la culpabilité de ne pas atteindre cette perfection qui n'est évidemment pas de ce monde", commente Lysiane Panighini. Autre conséquence, ajoute-t-elle, "un seuil de frustration très bas" "la colère ou l'angoisse surviennent dès que les choses ne se passent pas comme on a décidé qu'elles devaient se passer". Avec à la clé, des réactions disproportionnées. Le "lâcher prise", quelque chose qui ne se décide pasPour tenter de sortir de cette prison de la perfection dont on s'enferme souvent de notre plein gré, il est souvent recommandé de "lâcher prise". Un concept également "assez nouveau et que l'on retrouve dans bon nombre de livres, qui vous expliquent comment lâcher prise en 10 leçons", observe Lysiane Panighini. Ce qui est, souligne-t-elle, "un non-sens total". "Le lâcher-prise ne peut relever d'un acte volontaire. C'est comme si l'on disait à quelqu'un 'Sois spontané'". Le lâcher-prise ne s'apprend pas, c'est un état d'être ou un état d'esprit, je dirais, apaisé, avec lequel on se sent en congruence, sans révolte." En somme, une acceptation de ce qui est. Sans tomber donc dans les solutions toutes faites, Lysiane Panighini essaie d'aider ses patients à "mettre la barre moins haute et à descendre le curseur de leurs exigences". Trouver l'origine de cette obsession de la perfectionIl s'agit dans un premier temps de "déconstruire ce comportement que l'on peut résumer par 'je veux tout contrôler et être parfaite'", de façon à ce que la personne se rende compte que le problème "ne vient pas d'elle, mais d'un contexte." Il n'est évidemment pas question de porter un jugement "mais de se dé-identifier du problème, de s'en désolidariser". Identifier les effets néfastes de cet excès de contrôleEnsuite, poursuit Lysiane Panighini, "nous identifions les effets de ce comportement dans la vie de la personne et de ceux qui l'entourent." Par exemple, est ce que cela lui fait faire des choses qu'elle n'a pas envie de faire? Est-ce que cela nuit à son couple, à ses relations de travail?? Est-ce que sa volonté de tout contrôler va parfois à l'encontre de ses valeurs, comme la compassion, l'empathie, le plaisir de profiter simplement de la vie? "L'intention du travail étant que la personne se reconnecte avec ses valeurs, dont le problème la coupe sans qu'elle s'en rende véritablement compte." De cette façon, l'enjeu n'est plus de "lâcher prise" mais d'être à nouveau en cohérence avec soi même, de retrouver de l'agrément. Existe-t-il en effet meilleure motivation pour changer que celle de jouir d'avantage de l'existence? Se rappeler du temps où l'on ne cherchait pas à tout maîtriserEnfin, dernière étape de la thérapie proposée par Lysiane Panighini, tenter de se rappeler d'une époque où l'on n'était pas dans ce type d'excès de perfectionnisme. "On fait alors prendre conscience à la personne qu'elle a su faire "autrement" à certains moments de sa vie, et que cela avait très bien fonctionné, sans inconvénients majeurs." "Lorsque cette prise de conscience est faite, cela va assez vite dans le bon sens", assure Lysiane Panighini. Sophrologie, kinésiologie, pleine conscience... des approches pour prendre du reculD'autres approches sont également envisageables. Carine Dufour est sophrologue et assure que cette méthode de relaxation et de développement personnel est "très efficace" et l'a été sur elle. Juliette confirme "j'ai testé pendant ma grossesse on ne contrôle rien pendant sa grossesse, un cauchemar pour une control freak!. Cela m'a énormément aidée, rassurée, obligée à lâcher du lest et à me projeter dans l'avenir pour accepter de ne pas avoir de prise sur le présent". Maud, qui termine ses études de kinésiologie, en vante pour sa part les bienfaits "les kinésiologues se concentrent sur la façon d'équilibrer l'énergie dans l'organisme, c'est une approche qui s'inspire de la médecine chinoise. Cela permet de résoudre certains problèmes émotionnels, de lutter contre des blocages, en prenant conscience que le corps est un tout. En agissant sur le corps, la kinésiologie permet de réduire le stress, souvent à l'origine de cette volonté de tout contrôler". David quant à lui a découvert la pleine conscience. Cette technique de méditation lui a fait découvrir "la nécessité de s'arrêter parfois, de prendre du recul et d'être simplement dans l'instant présent et non plus dans l'anticipation permanente". Il continue à vérifier scrupuleusement ses dossiers, mais parvient également à "mettre de côté ce qui ne mérite pas de se ronger les sangs", à lâcher du lest, à rentrer plus tôt chez lui et à ne plus paniquer dès que son fils "ramène des notes en dessous de la moyenne". Un bon début. Journaliste, Caroline Franc Desages est aussi l'auteur du blog "Pensées by Caro" Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely Question Réponse Quel est le sens de la vie ? Comment trouver l’épanouissement, le bonheur et un but dans la vie ? Comment accomplir quelque chose de durable ? Certaines personnes ne cessent jamais de se poser ces questions importantes. Après quelques années, elles regardent en arrière et se demandent pourquoi leurs relations se sont brisées et pourquoi elles se sentent si vides, même après avoir atteint les buts qu’elles s’étaient fixé. Un jour, on a demandé à un athlète parvenu au sommet de sa discipline quel conseil il aurait voulu recevoir en débutant. Il a répondu J’aurais voulu qu’on me dise que quand on atteint le sommet, on n’y trouve rien. » Beaucoup de buts ne s’avèrent vains qu’après qu’on ait perdu des années à les poursuivre. Dans notre société humaniste, tous se fixent beaucoup d’objectifs, espérant trouver une raison d’être dans la réalisation de ces derniers. Voici quelques-uns de ces buts le succès en affaires, la prospérité, de bonnes relations, le sexe, le divertissement, la philanthropie. Certains confirment qu’après avoir atteint ces objectifs de prospérité, de bonnes relations et de plaisir qu’ils recherchaient, ils ressentaient toujours un profond vide intérieur que rien ne semblait pouvoir combler. Le livre biblique de l’Ecclésiaste exprime ce sentiment en ces mots Comble de l’inconsistance, dit l’Ecclésiaste, comble de l’inconsistance, tout n’est que fumée. » Ecclésiaste Le roi Salomon, l’auteur de ce livre, était riche au-delà de tout ce qu’on peut imaginer, disposait d’une sagesse plus grande que n’importe qui d’autre à son époque ou à la nôtre, avait des centaines de femmes, des palais et des jardins qui suscitaient l’envie de tous les royaumes, la meilleure nourriture le meilleur vin, et toutes sortes de divertissements à portée de main. Il a dit à un moment donné que tout ce que son cœur désirait, il se le procurait. Pourtant, au final, pour lui, la vie sous le soleil » une vie vécue comme s’il n’y avait rien en dehors de ce que nos yeux voient et que nos sens peuvent expérimenter n’a pas de sens. Pourquoi ce vide ? Parce que Dieu nous a créés pour quelque chose de bien plus grand que ce que nous pouvons éprouver ici-bas. Salomon a dit que Dieu a même mis dans le cœur de l’homme la pensée de l’éternité. » Ecclésiaste Au fond de nos cœurs, nous sommes conscients qu’il y a plus que la vie ici-bas. Dans la Genèse, le premier livre de la Bible, nous lisons que Dieu a créé l’homme à son image Genèse Cela signifie que nous ressemblons davantage à Dieu qu’à quoi que ce soit d’autre à n’importe quelle autre forme de vie. Nous y découvrons aussi les éléments suivants, déjà avant que l’homme ne succombe au péché et que la malédiction du péché ne s’abatte sur la terre 1 Dieu a créé l’homme en tant qu’être social Genèse 2 il lui a donné du travail Genèse 3 il avait une relation avec lui Genèse et 4 il lui a donné la domination sur toute la création Genèse Qu’est-ce que tout cela signifie ? Dieu voulait nous permettre ainsi de vivre une vie épanouie, mais chacun de ces éléments surtout notre relation avec Dieu a subi l’impact de la chute de l’homme dans le péché et la malédiction qui s’est abattue sur la terre Genèse 3. Dans l’Apocalypse, le dernier livre de la Bible, Dieu révèle qu’il détruira la terre et le ciel actuels et créera un nouveau ciel et une nouvelle terre qui subsisteront éternellement. Sa relation avec l’humanité rachetée sera alors pleinement rétablie, tandis que le reste de l’humanité sera jugée indigne et jetée dans l’étang de feu Apocalypse La malédiction du péché sera à jamais effacée ; il n’y aura plus ni péché, ni tristesse, ni maladie, ni mort, ni souffrance Apocalypse Dieu vivra avec ses rachetés et ils seront ses enfants Apocalypse C’est ainsi que la boucle se referme Dieu nous a créés pour une relation avec lui, l’homme a brisé cette relation par son péché, mais Dieu la rétablira pleinement pour l’éternité. Atteindre tous nos buts dans la vie, seulement pour mourir et être éternellement séparés de Dieu, serait pire que futile ! Mais Dieu a pourvu à un moyen, pour nous, non seulement de connaître le bonheur éternel Luc mais aussi d’avoir une vie satisfaisante et pleine de sens sur cette terre. Comment atteindre ce bonheur éternel et ce paradis sur terre » ? Le sens de la vie restauré par Jésus-Christ Le vrai sens de la vie présente et éternelle se trouve dans le rétablissement de la relation avec Dieu que nous avions perdue quand Adam et Ève sont tombés dans le péché, ce qui n’est possible que par son fils Jésus-Christ Actes ; Jean ; Jean Nous obtenons la vie éternelle en nous repentant de nos péchés c’est-à-dire en décidant de ne plus continuer à les pratiquer. Christ nous transforme et fait de nous une nouvelle créature si nous l’acceptons comme notre Sauveur. Mais même si accepter Jésus comme Sauveur est une expérience merveilleuse, le vrai sens de la vie ne se limite pas à cela il consiste à commencer à le suivre Jésus en tant que disciple, en apprenant de lui, en passant du temps avec lui dans sa Parole, la Bible, en communiquant avec lui par la prière et en marchant dans l’obéissance à ses commandements. Si vous n’êtes pas chrétienne ou peut-être nouvellement convertie, vous vous direz peut-être ça n’a rien de très enthousiasmant ni d’épanouissant ! Mais Jésus a fait les affirmations suivantes Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Acceptez mes exigences et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos pour votre âme. En effet, mes exigences sont bonnes et mon fardeau léger. » Matthieu Je suis venu afin que les brebis aient la vie et qu’elles l’aient en abondance. » Jean Si quelqu’un veut être mon disciple, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix et qu’il me suive ! En effet, celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui la perdra à cause de moi la retrouvera. » Matthieu Fais de l’Éternel tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire. » Psaumes Tous ces versets disent que nous avons un choix à faire. Nous pouvons continuer à chercher à diriger nous-mêmes notre vie, sans jamais parvenir à combler notre vide intérieur, ou choisir de suivre Dieu de tout notre cœur et de rechercher sa volonté pour nous, avec pour résultat une vie pleinement remplie, épanouissante et satisfaisante, qui comblera les désirs de notre cœur, parce que notre Créateur nous aime et veut le meilleur pour nous pas nécessairement une vie facile, mais épanouissante. La vie chrétienne peut être comparée au choix de payer plus cher pour obtenir une place tout près de l’action lors d’un événement sportif, ou de payer moins pour une place plus éloignée. Nous pouvons voir l’œuvre de Dieu en première ligne, » mais ce n’est malheureusement pas le choix de la plupart des gens. Seuls les disciples consacrés à Christ, qui ont renoncé à leurs propres désirs pour poursuivre ses desseins, le verront agir pleinement. Ils ont payé le prix un abandon total à Christ et à sa volonté, vivent une vie pleinement épanouie et font face à eux-mêmes, à leurs semblables et à leur Créateur sans aucun regret. Avez-vous payé le prix ? Êtes-vous prête à le faire ? Si oui, vous n’aurez plus soif d’un sens à votre vie. English Retour à la page d'accueil en français Quel est le sens de la vie ? Caroline Coldefy Itinéraire d’un éveil à la spiritualité Bernard Campan, Alexandre Jollien, Olivier Delacroix… Ils partagent leur expérience Le témoignage bouleversant d’un éveil spirituel, illustré de nombreux récits de personnalités médiatiques. C’est quoi au juste la spiritualité ? Un chemin de transformation, un chemin qui parle de transcendance, de voir ce qui se passe derrière la réalité. Un chemin d’acceptation. Un chemin qui relie aux autres. Un chemin qui calme l’égo. Un chemin en lien, ou pas, avec une croyance religieuse. Et c’est quoi l’éveil ? L’entrée dans une nouvelle conscience où il est donné à des êtres humains d’expérimenter des moments de grâce. Ils sont traversés par quelque chose qui les dépasse, une entrée de l’Infini dans leur monde quotidien. Difficile de définir quelque chose qui est de l’ordre de l’intime et de l’indicible. Caroline Coldefy raconte comment, dès l’adolescence, une profonde détresse et un immense vide intérieur l’amènent à sombrer dans les paradis artificiels. Une descente aux enfers qui durera de nombreuses années, jusqu’au moment où sa vie bascule, d’abord en adoptant sa petite fille au Kazakhstan, puis le jour où, lors d’une retraite dans un monastère, elle ressent pour la première fois une connexion avec une puissance supérieure à elle. Dieu ? Mahomet ? Bouddha ? Jésus ? Le plus grand ?… Débute alors un chemin de transformation qui ne la transforme pas en Sainte Caroline mais la ramène vers la vraie Caroline. Une aventure qu’elle n’avait pas envisagée une seconde, elle, la parisienne qui travaillait dans les médias. Avec ce livre, Caroline Coldefy est partie à la rencontre d’hommes et de femmes dont la vie a aussi été bouleversée par cet éveil spirituel ». Qu’il s’agisse d’inconnus ou de personnalités comme Bernard Campan, Olivier Delacroix ou Alexandre Jollien, tous témoignent d’une grande souffrance, d’une prise de conscience et d’une renaissance à nulle autre pareille. Pas de conseils, ni de manuel du parfait éveillé » dans le récit de ces rencontres d’une profonde sincérité mais plutôt un message universel, au-delà des religions quel sens donner aux épreuves qui jalonnent notre vie ? Pourquoi ce livre ? En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant. Nelson Mandela La spiritualité il y a quelque temps encore, ce mot, dont je ne connaissais pas la signification, me semblait réservé aux penseurs, aux gens intelligents, aux intellos, bref, à tout le monde sauf à moi ! D’ailleurs, c’est quoi au juste la spiritualité ? Difficile de donner une définition précise qui mette tout le monde d’accord et englobe l’ensemble des subtilités de ce concept. Le mot est devenu récemment une notion un peu fourre-tout qui demande à être précisée. Si le dictionnaire Larousse propose comme définition Ce qui concerne la doctrine ou la vie centrée sur Dieu et les choses spirituelles », pour certains d’entre nous, la spiritualité est un chemin de transformation, un chemin qui parle de transcendance, de voir ce qui se passe derrière la réalité. Un chemin d’acceptation. Un chemin qui relie aux autres. Un chemin qui calme l’ego. Un chemin en lien, ou pas, avec une croyance religieuse. Moi, je ne sais pas vraiment. J’aime la définition qu’en fait Benoît Billot, un moine bénédictin spécialiste du dialogue interreligieux. Pour lui, la spiritualité part d’une expérience individuelle, comme il me l’a confié Un éveil, c’est l’entrée dans une nouvelle conscience. Jusque-là, l’Homme gérait sa vie tant bien que mal, souvent enfermé dans les problèmes du quotidien, souffrant, parfois, de la limitation de son horizon. Et puis vient un éveil comme si on passait de 2 en 3 D. Un nouveau monde se révèle à lui, d’une gratuité sans limite, donnant un sentiment de plénitude et d’accomplissement et appelant un changement de vie parfois important. Il est donné à des êtres humains d’expérimenter des moments de grâce où ils sont traversés par quelque chose qui les dépasse, une entrée de l’Infini dans leur monde quotidien. La religion, c’est autre chose, c’est un ensemble de pratiques, de rites, de dogmes et règles qui dicte une conduite morale. » De jolis mots et de beaux concepts qui n’ont fait partie ni de mon vocabulaire, ni même du champ de ma conscience pendant des années. Pourtant, il y a cinq ans, à la faveur d’une retraite dans un monastère pour faire le point sur ma vie, j’ai pour la première fois ressenti une connexion avec une puissance supérieure à moi, un Dieu auquel je ne savais pas encore donner de nom. Depuis, je me sens sur un chemin de transformation. J’ai le sentiment d’être au début d’une véritable aventure que je n’avais pas envisagée une seconde, moi, la Parisienne qui travaille dans les médias. Une aventure qui ne me transforme pas en sainte Caroline mais qui, sans nul doute, m’amène vers la vraie Caroline. A propos de l’auteure Journaliste de télévision, passionnée par les faits de société et les témoignages, Caroline Coldefy a débuté au service informations générales d’Europe 1, avant de travailler pour le magazine Zénith de Canal Plus. Elle a ensuite été rédactrice en chef de ça se discute sur France 2 pendant plus de 10 ans. Elle travaille aujourd’hui chez Galaxie Presse, une société qui produit des documentaires et des magazines pour différentes chaînes de télévision. Par ailleurs, elle pratique quotidiennement le yoga et la méditation. Découvrez le livre Et enfin la vie prend tout son sens » en cliquant ci-dessous Cet article pourrait intéresser un de vos amis ami ou un de vos proches ? N’hésitez pas à le partager. Le Partage c’est La Vie !!! You have Successfully Subscribed! Noté sur 5 basé sur 18 notations client 19 avis client € En cette période de grands changements, l’être humain vit dans une société qui le confine dans un contexte qui ne lui correspond pas vraiment. De l’enfance à l’âge adulte, l’être humain est-il vraiment lui-même?… Auteur Conrad 244 pages – 15×21 cm – couverture en relief editeur Le Souffle des Mondes ISBN 978-2-9527812-0-6 EAN 9782952781206 paiement sécurisé Description Informations complémentaires Avis 19 Description 4 ème de couverture En cette période de grands changements, l’être humain vit dans une société qui le confine dans un contexte qui ne lui correspond pas vraiment. Cette société pseudo moderne» qu’il a créée l’empêche même en grande partie de faire un cheminement vers lui-même, de se connaître et de prendre conscience du Soi » profond. Il est obligé d’être ou de paraître selon une image faussée qui n’est pas forcement individuelle, mais plutôt stéréotypée. Il marche ainsi sur un chemin de comparaisons et d’identifications, créant division, désunion et dualité en soi et au delà de soi, au lieu d’unité. De l’enfance à l’âge adulte, l’être humain est-il vraiment lui-même? Prends Conscience, et Avance… Dans ses écrits, par sa vision empreinte de sagesse et de simplicité, Conrad nous invite et nous aide à améliorer notre façon de penser, de voir et d’agir. En toute humilité, il nous ouvre des portes sur nous-même et sur tout ce qui nous entoure. Conrad nous permet aussi de comprendre que les éléments, la nature, chaque être vivant et chaque instant de vie offrent de merveilleux enseignements, dans la vérité de l’instant présent, à chaque moment, à chaque pas sur notre chemin, nous permettant également de trouver Paix et Harmonie avec le Soi » intérieur, d’une manière simple, authentique, et qu’il est essentiel de découvrir pour notre évolution personnelle, collective et pour l’Humanité. Un chemin vers Soi, vers le Tout, vers lUnité, en Conscience . . . L’un des plus beaux et nobles chemins que l’être humain puisse accomplir, c’est celui qui le mène vers lui-même.. » Prends Conscience, et Avance… Autre livre du meme auteur Un Même Souffle Informations complémentaires Poids kg Dimensions 025 × 15 × 21 cm Mets ta confiance en Jéhovah de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ton intelligence. » PROVERBES 35 1, 2. Aimes-​tu prendre des décisions ? Que penses-​tu de certaines décisions que tu as prises ? AIMES-​TU prendre des décisions ? Tous les jours nous devons décider de beaucoup de choses. Il y a des gens qui veulent décider de tout ce qui concerne leur vie. Ils n’aiment pas qu’on décide à leur place. D’autres ont peur de prendre une décision importante. Avant de décider, ils cherchent des conseils dans des livres ou consultent des spécialistes. Ils dépensent même beaucoup d’argent pour qu’on les aide à prendre une décision. 2 Nous savons bien qu’il y a des décisions que nous n’avons pas le droit de prendre. En même temps, nous avons aussi le droit de faire de nombreux choix dans la vie Galates 65. Mais nous savons sans doute que nos décisions ne sont pas toutes bonnes. 3. Où pouvons-​nous trouver des conseils pour prendre des décisions ? Pourquoi est-​ce qu’il n’est pas toujours facile de savoir quelle décision nous devons prendre ? 3 Dans la Bible, Jéhovah nous donne des conseils clairs pour prendre de nombreuses décisions importantes. Nous savons que si nous suivons ses conseils, nous prendrons des décisions qui lui plairont et qui nous rendront heureux. Mais la Bible ne parle pas de toutes les situations possibles ou de toutes les difficultés que nous pouvons avoir. Alors comment savoir quelle décision nous devons prendre ? Par exemple, la Bible dit qu’il ne faut pas voler. Éphésiens 428 Pourtant, certains disent qu’il n’est pas toujours mal de prendre quelque chose qui appartient à quelqu’un d’autre, si cette chose n’a pas beaucoup de valeur ou si on en a vraiment besoin. Comment prendre une décision si on nous dit qu’il n’y a pas de règle précise dans la Bible ? Qu’est-​ce qui peut nous aider ? IL FAUT AVOIR DU BON SENS 4. Quel conseil nous donne-​t-​on parfois quand nous devons prendre une décision ? 4 Si nous devons prendre une décision importante, un compagnon chrétien nous dira peut-être qu’il faut avoir du bon sens. C’est un bon conseil. La Bible dit que celui qui prend une décision trop vite risque de se retrouver sans rien. Proverbes 215 Mais que signifie avoir du bon sens ? Est-​ce que c’est seulement bien réfléchir à la situation, être prudent et chercher à tout comprendre avant de faire un choix ? Tout cela est important, mais avoir du bon sens, c’est plus que ça. Romains 123 ; 1 Pierre 47 5. Pourquoi est-​ce que nous n’avons pas un bon sens parfait ? 5 Nous n’avons pas un bon sens parfait. Nous sommes tous pécheurs et imparfaits. C’est pour cela que nous n’avons pas une santé parfaite et que nous ne réfléchissons pas toujours bien. Psaume 515 ; Romains 323 En plus, parmi nous, beaucoup ont été aveuglés » par Satan avant de connaître Jéhovah et ses lois. 2 Corinthiens 44 ; Tite 33 Donc, même si quelqu’un réfléchit longtemps et pense que sa décision est bonne, il prendra peut-être quand même une mauvaise décision. Proverbes 1412 Quelqu’un peut réfléchir longtemps avant de prendre une décision et prendre quand même une mauvaise décision. 6. Qu’est-​ce qui peut nous aider à agir avec bon sens ? 6 Notre Père céleste, Jéhovah, n’est pas comme nous lui, il est parfait. Deutéronome 324 Il nous donne tout ce qu’il faut pour améliorer notre façon de penser, et il nous apprend à agir avec bon sens. lire 2 Timothée 17 Puisque nous sommes chrétiens, nous voulons penser et agir avec bon sens. Nous devons donc apprendre à maîtriser nos pensées et ce que nous ressentons. Nous devons aussi penser et agir comme Jéhovah le fait, et avoir les mêmes sentiments que lui. 7, 8. Quel exemple montre qu’on peut prendre une bonne décision même quand on est inquiet ou qu’on a des problèmes ? 7 Voici un exemple il arrive souvent que des immigrés envoient leur bébé à des membres de leur famille qui sont restés au pays. De cette façon, le père et la mère peuvent continuer à travailler et à gagner de l’argent dans le pays où ils se sont installés.* voir la note Une femme a eu un joli petit garçon. À la même époque, elle a commencé à étudier la Bible et à appliquer ce qu’elle apprenait. Ses amis et sa famille disaient que c’était la coutume d’envoyer les enfants au pays pour que les grands-parents les élèvent. Mais en étudiant la Bible, la femme venait d’apprendre que Jéhovah avait donné à elle et à son mari la responsabilité d’élever leur enfant. Psaume 1273 ; Éphésiens 64 Devait-​elle respecter la coutume, puisque tout le monde pensait que c’était bien de le faire ? Ou bien devait-​elle appliquer ce qu’elle avait appris dans la Bible ? Ce serait sûrement difficile de vivre avec moins d’argent, et les autres allaient peut-être la critiquer. Qu’aurais-​tu fait à sa place ? 8 La jeune femme était inquiète. Elle a donc dit à Jéhovah ce qu’elle ressentait et elle lui a demandé de lui indiquer ce qu’elle devait faire. En parlant avec la chrétienne qui lui enseignait la Bible et avec d’autres membres de la congrégation, elle a compris ce que Jéhovah pensait de cette situation. Elle a aussi compris que son fils risquait de souffrir s’il grandissait loin d’elle et de son mari. Elle a bien réfléchi à ce que la Bible disait, et elle s’est dit que ce n’était pas bien d’envoyer son bébé à sa famille. Son mari a vu que les membres de la congrégation les avaient rapidement aidés, et que son bébé était heureux et en bonne santé. Alors, il a accepté d’étudier la Bible et il s’est mis à venir aux réunions avec sa femme. 9, 10. Que faut-​il vérifier pour agir avec bon sens ? Comment agir avec bon sens ? 9 Ce n’est qu’un exemple, mais il montre qu’agir avec bon sens, ce n’est pas seulement faire ce que nous pensons être bien. Ce n’est pas non plus faire ce que les autres pensent être le mieux ou le plus facile. Notre esprit et notre cœur sont imparfaits. Ils sont comme une montre qui avance ou qui retarde. Si nous croyons ce que dit notre montre même quand elle n’est pas à l’heure, nous pouvons avoir de gros problèmes. Jérémie 179 Pour ne pas avoir de problèmes, nous devons vérifier que ce que nous pensons et ce que nous ressentons plaît à Jéhovah. lire Isaïe 558, 9 Nous devons vérifier que ce que nous pensons et ce que nous ressentons plaît à Dieu. 10 La Bible donne ce sage conseil Mets ta confiance en Jéhovah de tout ton cœur et ne t’appuie pas sur ton intelligence. Dans toutes tes voies tiens compte de lui, et lui, il rendra droits tes sentiers. » Proverbes 35, 6 Remarque que ce texte dit Ne t’appuie pas sur ton intelligence », c’est-à-dire ne fais pas confiance à ton intelligence. Puis il nous encourage à tenir compte » de Jéhovah, c’est-à-dire à faire ce qu’il nous conseille. Jéhovah est le seul qui possède un bon sens parfait. Donc, chaque fois que nous devons prendre une décision, regardons ce que la Bible dit pour savoir ce que Dieu pense de la situation. Alors, nous pourrons prendre une décision qui plaît à Jéhovah. Si nous voulons agir avec bon sens, nous devons imiter la façon de penser de Jéhovah. EXERCE TES FACULTÉS DE PERCEPTION 11. Que faut-​il faire pour prendre des décisions avec sagesse ? 11 Apprendre comment prendre des décisions avec sagesse, puis faire ce qu’on a décidé, ce n’est pas facile. Cela peut être difficile surtout pour ceux qui viennent de se faire baptiser ou qui commencent à faire des progrès dans leur vie de chrétiens. Mais ce n’est pas impossible. La Bible appelle ces nouveaux chrétiens des tout-petits » parce qu’ils sont comme des enfants qui apprennent à marcher. Un enfant apprend à marcher en faisant quelques pas, puis en recommençant encore et encore. Ceux qui apprennent comment prendre des décisions avec sagesse font un peu la même chose. L’apôtre Paul a dit que les gens qui ont de la sagesse sont ceux qui, par l’usage, ont les facultés de perception exercées à distinguer et le bien et le mal ». Les mots par l’usage » et exercées » indiquent qu’il faut faire des efforts sans s’arrêter. Les nouveaux chrétiens doivent donc continuer à faire des efforts pour apprendre comment prendre des décisions avec sagesse. lire Hébreux 513, 14 Quand nous faisons des bons choix dans la vie de tous les jours, nous exerçons nos facultés de perception. voir le paragraphe 11 12. Comment savoir prendre des décisions avec sagesse ? 12 Chaque jour nous devons prendre de nombreuses décisions. Elles peuvent être grandes ou petites. Des recherches ont été faites pour savoir comment nous prenons nos décisions. Elles ont montré que nous prenons presque la moitié de nos décisions en suivant des habitudes, et pas en réfléchissant bien. Par exemple, tous les matins tu dois décider quels vêtements tu vas mettre. Tu vas peut-être dire que c’est une petite décision et que tu n’as pas besoin d’y réfléchir beaucoup. Pourtant, c’est une question importante ce que tu vas mettre est-​il convenable pour quelqu’un qui adore Jéhovah ? 2 Corinthiens 63, 4 Quand tu vas dans un magasin pour acheter des vêtements, tu te demandes sans doute quel style de vêtements est à la mode. Mais est-​ce que tu te demandes si ces vêtements n’attirent pas trop l’attention et si tu as assez d’argent pour les acheter ? Bien choisir nos habits nous aide à exercer nos facultés de perception. Alors, nous prendrons plus facilement des bonnes décisions pour des choses plus importantes. Luc 1610 ; 1 Corinthiens 1031 UNE FORTE ENVIE DE FAIRE CE QUI EST BIEN 13. Qu’est-​ce qui nous aidera à faire les choses que nous avons décidé de faire ? 13 Même quand nous prenons une bonne décision, ce n’est pas toujours facile de faire ce que nous avons décidé. Par exemple, certains veulent arrêter de fumer. Mais leur envie d’arrêter n’est pas assez forte pour qu’ils réussissent. Nous devons avoir une forte envie de faire les choses que nous avons décidé de faire. Certains disent qu’on peut renforcer cette envie de la même manière qu’on renforce un muscle. Plus on utilise un muscle, c’est-à-dire plus on l’exerce, plus il devient fort. Si on ne l’utilise pas souvent, il s’affaiblit. Comment renforcer notre envie de faire les choses que nous avons décidé de faire ? Demandons à Jéhovah de nous aider. lire Philippiens 213 14. Comment Paul a-​t-​il eu la force de faire ce qui est bien ? 14 Paul savait que ce n’était pas facile de faire ce qui est bien. Lui aussi avait du mal à y arriver. Il savait ce qu’il voulait faire ou ce qu’il devait faire, mais il n’y arrivait pas toujours. La loi de Dieu lui plaisait, mais il a admis qu’il y avait en lui une autre loi. Elle l’entraînait dans une autre direction et elle le poussait à pécher. C’était comme s’il était prisonnier de cette mauvaise loi. Mais il avait une bonne raison de ne pas se décourager. Il a dit qu’il remerciait Dieu par Jésus Christ notre Seigneur. Romains 718, 22-25 Il a aussi écrit Pour toutes choses j’ai cette force grâce à celui qui me donne de la puissance. » Philippiens 413 Pour plaire à Dieu, nous devons décider de faire ce qui est bien et être déterminés à le faire. 15. Pourquoi devons-​nous être déterminés à faire ce qui est bien ? 15 Pour plaire à Dieu, nous devons décider de faire ce qui est bien, puis être déterminés à le faire. Rappelle-​toi ce qu’Éliya a dit aux adorateurs de Baal et aux Israélites infidèles au mont Carmel Jusqu’à quand boiterez-​vous sur deux opinions différentes jusqu’à quand hésiterez-​vous ? Si Jéhovah est le vrai Dieu, allez à sa suite, mais si c’est Baal, allez à sa suite. » 1 Rois 1821 Les Israélites savaient qu’ils devaient adorer seulement Jéhovah. Ils boitaient sur deux opinions différentes » parce qu’ils essayaient d’adorer en même temps Baal et Jéhovah. Josué n’avait pas fait cette erreur. Il avait dit aux Israélites Si c’est mal à vos yeux de servir Jéhovah, choisissez pour vous aujourd’hui qui vous servirez. Quant à moi et à ma maisonnée, nous servirons Jéhovah. » Josué 2415 Quelle bénédiction lui et ceux qui l’ont imité ont-​ils reçue ? Ils ont été autorisés à entrer en Terre promise, qui était un pays ruisselant de lait et de miel ». Josué 56 SI TU PRENDS DES DÉCISIONS AVEC SAGESSE, TU SERAS BÉNI 16, 17. Quel exemple montre qu’il est bien de faire ce que Jéhovah nous demande ? 16 Un frère qui était baptisé depuis pas longtemps avait 3 jeunes enfants. Son travail ne lui apportait pas beaucoup d’argent, mais il avait choisi ce travail pour ne pas être obligé de travailler les week-ends. De cette façon, il pouvait aller aux réunions et prêcher avec sa femme et ses enfants. Un jour, un de ses collègues lui a proposé de changer d’entreprise avec lui. Ils gagneraient alors plus d’argent et auraient d’autres avantages. Le frère a réfléchi et a prié avant de prendre une décision. Il a compris que s’il acceptait, il devrait sans doute attendre longtemps avant que son nouveau patron l’autorise à ne pas travailler les week-ends. Qu’aurais-​tu fait à sa place ? Prends des décisions sages et tu seras heureux parmi le peuple de Dieu. voir le paragraphe 18 17 Ce chrétien s’est demandé quel effet sa décision aurait sur son amitié avec Jéhovah. Finalement, il a refusé le travail mieux payé. Plus tard, a-​t-​il regretté cette décision ? Non. Il n’a pas pensé seulement à gagner plus d’argent. Il savait que le plus important pour lui et sa famille, c’était de devenir encore plus amis avec Jéhovah. Ce frère et sa femme ont été très heureux quand leur fille de 10 ans leur a dit qu’elle les aimait beaucoup, qu’elle aimait beaucoup les frères et sœurs de la congrégation, et qu’elle aimait beaucoup Jéhovah. Elle a dit qu’elle voulait vouer sa vie à Jéhovah et se faire baptiser. En mettant le culte de Jéhovah en premier dans sa vie, son père lui a donné le bon exemple. 18. Pourquoi est-​il important de prendre des décisions avec sagesse ? 18 Pendant longtemps, Moïse a guidé les Israélites dans le désert. Depuis de nombreuses années, Jésus guide le peuple de Dieu à travers le monde de Satan, qui sera bientôt détruit. Josué a fait entrer les Israélites en Terre promise. Jésus fera entrer ses disciples dans le monde nouveau promis, où la vraie justice existera. 2 Pierre 313 Ce moment arrivera très bientôt. Alors agis avec sagesse ne reprends pas tes anciennes habitudes, tes mauvaises façons de penser ou tes anciens buts. Cherche à comprendre encore mieux comment vivre d’une manière qui plaît à Dieu. Romains 122 ; 2 Corinthiens 135 Prends tes décisions avec sagesse, et sois une personne que Jéhovah bénira pour toujours. lire Hébreux 1038, 39

prends la vie dans le bon sens